Et si un carnet de bal à VerXailles ouvrant une ode catalane, m'était conté... Juin 19
Publié : 23 juin 2019, 23:15
Bonjour,
Et si un carnet de bal à VerXailles ouvrant une ode catalane, m'était conté...
Intro du carnet:
Un fameux bal, rencontre familiale, début juin à Versailles, une envie de commencer à envisager d'autres lieux de vie pour si un jour... et zou, cela devient 11 jours de voyage entre la France et l'Espagne, principalement la Catalogne.
Je suis arrivée le 6 juin à Paris et le 8 nous avons pris l'avion pour Montpellier, y avons réccupéré une voiture de location et sommes partis passer 7 nuits en Catalogne. Au total, nous avons parcouru 1 492 kilomètres avec la Grande qui était un grand Scenic.
Ce fut un agréable voyage sous température printanière, tournant autour de 20/25° la journée avec un ciel allant de gris couvert à bleu et pleuviotant parfois quelques gouttes. Les soirées et nuits furent plus fraîches. Nous avons apprécié la variété des visites possibles nous menant de classiques ruines romaines à la baroque folie du musée Dali ou des oeuvres de Gaudi.
Nos 3 points d'hébergement sont les têtes de pont de ce carnet. S'y ajoute une quatrième, en réalité, une première car elle correspond à mes 2 jours à Versailles.
Je remercie celles et ceux m'ayant aidée à rassembler des éléments, des idées, des possibilités pendant la prépa. Je remercie également toutes celles et tous ceux passant lire ce récit, le commentant, demandant des infos, relevant une coquillette...
Et si nous ouvrions notre carnet de bal pour y conter ce voyage...
.
Les deux premiers jours se sont passés en France entre Paris et Versailles. La partie Paris, tranquillou début de voyage est avancée...
Quand pleure Notre-Dame et rit le jardin de Le Nôtre
Mercredi fin d’après-midi me revoilà à l’aéroport Aimé Césaire, en attente de l’Air France du jour. Parmi les questions qui me sont souvent posées, figure celle concernant le choix de la compagnie pour venir aux Antilles. Nous les trouvons globalement équivalentes. Ce qui nous fait choisir l’une plutôt que l’autre, c’est d’abord le fait d’avoir un vol complémentaire ou pas et si la réponse est positive, c’est Air France qui l’emporte sans même mener bataille. Sinon, ce sera le prix qui décidera. Pour ce voyage, nous avons bénéficié d’un tarif jamais vu depuis l’arrivée de l’euro: 376 euros avec 1 bagage en soute !
Le vol est plein, plutôt calme et c’est films à la chaîne me concernant. J’enchaîne la vie du Facteur Cheval un homme dont je connaissais l’œuvre mais guère la vie, je m’envole dans les airs avec une nouvelle Mary Poppins moins popante que la première et finalement je décide de regarder Bohemian Rhapsody alors que les extraits m’avaient grandement refroidie. Si j’ai apprécié les parties consacrées à la vie de Farrock, peu en ma mémoire car plutôt discrètes à l’époque, je reste dubitative sur les parties chantées bien trop souvent mimées sans atteindre le naturel faisant oublié le jeu d’acteur. Rien ne vaut de se replonger dans les images des vrais concerts !!!
L’avion se pose, il fait frais dans les 10°, le ciel est gris, peu réjouissant. Je parcours les allées de ce nouvel Orly ayant perdu ses références géographiques pour aborder des numéros. J’en retiens qu’on marche beaucoup plus qu’avant pour récupérer ses bagages et pour aller prendre le bus.
Jamais vu autant de monde en attente du bus, il me faudra patienter plus de 30 minutes avant de monter, soit quasi 2 heures après avoir atterri. Direction la gare de Montparnasse, sa consigne (9 euros le casier) et rendez-vous est fixé au C&A avec l’amie avec qui je vais partager quelques heures. Pourquoi ce magasin car j’ai des bricolettes à y acheter dont des collants sans pied pour le lendemain soir car la température ambiante me fait craindre de puissants frimas.
Nous devions aller voir l’expo au musée Maillol mais je suis KO et ai envie d’aller voir à quoi ressemble Notre-Dame après le ravage. Donc...
Elle me plaît bien sans la flèche de Violet-le-Duc dont je n’ai jamais été fan. Je lui trouve un côté plus massif correspondant aux phases originelles de construction. Je préfèrerai qu’elle reste sur cette base et que la reconstruction devant permettre une éventuelle réouverture reste la plus soft possible sans un investissement de centaines de millions d’euros.
Nous déjeunons d’une bonne bruschetta en face de la cathédrale, dans un sympathique resto aux notes corses: le Nul part ailleurs. Amical papotage sur l'ici et l'ailleurs... Merci pour ce bon moment.
Je prends le train pour Versailles vers 15 heures et me retrouve à la gare à la recherche d’un taxi que je ne trouve point. Il fait beau bon bleu, ce sera 1,5 km de marche, heureusement que le sac et la valise ont de bonnes roulettes. Personne devant la porte de l’appart, un message m’annonce 400 mètres de plus à faire car les clefs sont ailleurs dans une boîte dédiée. Grrrr pas top ce supplément ! Je finis par m’installer dans un appart sympa juste un peu sombre à mon goût…
Et si un carnet de bal à VerXailles ouvrant une ode catalane, m'était conté...
Intro du carnet:
Un fameux bal, rencontre familiale, début juin à Versailles, une envie de commencer à envisager d'autres lieux de vie pour si un jour... et zou, cela devient 11 jours de voyage entre la France et l'Espagne, principalement la Catalogne.
Je suis arrivée le 6 juin à Paris et le 8 nous avons pris l'avion pour Montpellier, y avons réccupéré une voiture de location et sommes partis passer 7 nuits en Catalogne. Au total, nous avons parcouru 1 492 kilomètres avec la Grande qui était un grand Scenic.
Ce fut un agréable voyage sous température printanière, tournant autour de 20/25° la journée avec un ciel allant de gris couvert à bleu et pleuviotant parfois quelques gouttes. Les soirées et nuits furent plus fraîches. Nous avons apprécié la variété des visites possibles nous menant de classiques ruines romaines à la baroque folie du musée Dali ou des oeuvres de Gaudi.
Nos 3 points d'hébergement sont les têtes de pont de ce carnet. S'y ajoute une quatrième, en réalité, une première car elle correspond à mes 2 jours à Versailles.
Je remercie celles et ceux m'ayant aidée à rassembler des éléments, des idées, des possibilités pendant la prépa. Je remercie également toutes celles et tous ceux passant lire ce récit, le commentant, demandant des infos, relevant une coquillette...
Et si nous ouvrions notre carnet de bal pour y conter ce voyage...
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Les deux premiers jours se sont passés en France entre Paris et Versailles. La partie Paris, tranquillou début de voyage est avancée...
Quand pleure Notre-Dame et rit le jardin de Le Nôtre
Mercredi fin d’après-midi me revoilà à l’aéroport Aimé Césaire, en attente de l’Air France du jour. Parmi les questions qui me sont souvent posées, figure celle concernant le choix de la compagnie pour venir aux Antilles. Nous les trouvons globalement équivalentes. Ce qui nous fait choisir l’une plutôt que l’autre, c’est d’abord le fait d’avoir un vol complémentaire ou pas et si la réponse est positive, c’est Air France qui l’emporte sans même mener bataille. Sinon, ce sera le prix qui décidera. Pour ce voyage, nous avons bénéficié d’un tarif jamais vu depuis l’arrivée de l’euro: 376 euros avec 1 bagage en soute !
Le vol est plein, plutôt calme et c’est films à la chaîne me concernant. J’enchaîne la vie du Facteur Cheval un homme dont je connaissais l’œuvre mais guère la vie, je m’envole dans les airs avec une nouvelle Mary Poppins moins popante que la première et finalement je décide de regarder Bohemian Rhapsody alors que les extraits m’avaient grandement refroidie. Si j’ai apprécié les parties consacrées à la vie de Farrock, peu en ma mémoire car plutôt discrètes à l’époque, je reste dubitative sur les parties chantées bien trop souvent mimées sans atteindre le naturel faisant oublié le jeu d’acteur. Rien ne vaut de se replonger dans les images des vrais concerts !!!
L’avion se pose, il fait frais dans les 10°, le ciel est gris, peu réjouissant. Je parcours les allées de ce nouvel Orly ayant perdu ses références géographiques pour aborder des numéros. J’en retiens qu’on marche beaucoup plus qu’avant pour récupérer ses bagages et pour aller prendre le bus.
Jamais vu autant de monde en attente du bus, il me faudra patienter plus de 30 minutes avant de monter, soit quasi 2 heures après avoir atterri. Direction la gare de Montparnasse, sa consigne (9 euros le casier) et rendez-vous est fixé au C&A avec l’amie avec qui je vais partager quelques heures. Pourquoi ce magasin car j’ai des bricolettes à y acheter dont des collants sans pied pour le lendemain soir car la température ambiante me fait craindre de puissants frimas.
Nous devions aller voir l’expo au musée Maillol mais je suis KO et ai envie d’aller voir à quoi ressemble Notre-Dame après le ravage. Donc...
Elle me plaît bien sans la flèche de Violet-le-Duc dont je n’ai jamais été fan. Je lui trouve un côté plus massif correspondant aux phases originelles de construction. Je préfèrerai qu’elle reste sur cette base et que la reconstruction devant permettre une éventuelle réouverture reste la plus soft possible sans un investissement de centaines de millions d’euros.
Nous déjeunons d’une bonne bruschetta en face de la cathédrale, dans un sympathique resto aux notes corses: le Nul part ailleurs. Amical papotage sur l'ici et l'ailleurs... Merci pour ce bon moment.
Je prends le train pour Versailles vers 15 heures et me retrouve à la gare à la recherche d’un taxi que je ne trouve point. Il fait beau bon bleu, ce sera 1,5 km de marche, heureusement que le sac et la valise ont de bonnes roulettes. Personne devant la porte de l’appart, un message m’annonce 400 mètres de plus à faire car les clefs sont ailleurs dans une boîte dédiée. Grrrr pas top ce supplément ! Je finis par m’installer dans un appart sympa juste un peu sombre à mon goût…